hum ... ce blog ne va pas tarder à se transformer en blog lecture si ça continue ... Naaaaannnnnn ! Bientôt de la nouveauté mais quand ? Pour l'heure, les livres lus en octobre ...on continue sur la lancée des livres rapides et sans prise de tête ...
L'appel de l'ange, Guillaume Musso
Dans leur téléphone, il y avait toute leur vie…
New York. Aéroport Kennedy.
Un homme et une femme se télescopent. En ramassant leurs affaires, Madeline et Jonathan échangent leurs téléphones portables. Lorsqu’ils s’aperçoivent de leur méprise, ils sont séparés par 10 000 kilomètres : elle est fleuriste à Paris, il tient un restaurant à San Francisco.
Cédant à la curiosité, chacun explore le contenu du téléphone de l’autre. Une double indiscrétion et une révélation : leurs vies sont liées par un secret qu’ils pensaient enterré à jamais…
« Un thriller d’une intensité que Musso n’a jamais atteinte jusqu’à présent. » Bernard Lehut, RTL
« La fascination opère. On plonge dans le “mystère” Musso comme, gamin, on sautait à pieds joints dans les flaques. » Pierre Vavasseur, Le Parisien
On continue l'exploration de l'oeuvre de Musso, quand on aime on ne compte pas, n'est ce pas ? Bon, un peu moins aimé celui ci ... on reconnait bien le style et on sait que ça finit bien, pas trop de surprise donc ... Agréable mais sans plus.
Fringues, Christine Orban
Darling est une dingue de fringues. Une fille qui s'amuse à assortir les hommes à ses robes, une « serial shoppeuse » effrénée. Sa vie est dans ses placards, ses fringues sont sa famille, ses complices, sa philosophie.
Darling est adorable et exaspérante, une fille unique en son genre (ou presque !)
Christine Orban connaît les milieux de la mode, le monde et la ville comme personne. Sa vision de cet univers fermé, de ses codes, de ses clans, est irrésistible.
Mouais, bof ... en fait, je me suis rendue compte à la moitié du livre, qu'en fait, je l'avais déjà lu ... Il ne m'avait déjà pas laissé un souvenir impérissable à l'époque ... En fait, c'est cucul la praline pour les grandes ...
Le philosophe qui n'était pas sage, Laurent Gounelle
Deux destins qui s affrontent, deux conceptions de la vie que tout oppose.
La forêt tropicale semblait retenir son souffle dans la chaleur moite du crépuscule. Assise devant l entrée de sa hutte, Élianta tourna les yeux vers Sandro qui s avançait. Pourquoi ce mystérieux étranger, que l on disait philosophe, s acharnait-il à détruire secrètement la paix et la sérénité de sa tribu ? Elle ne reconnaissait plus ses proches, ne comprenait plus leurs réactions... Qu avaient-ils fait pour mériter ça ? D heure en heure, Élianta sentait monter en elle sa détermination à protéger son peuple. Jamais elle ne laisserait cet homme jouer avec le bonheur des siens.
Un roman captivant, plein d humour, de sens et de suspense. Une histoire surprenante qui cache une subtile remise en cause de notre société.
Les romans de Laurent Gounelle sont des best-sellers traduits dans le monde entier.
J'ai adoré ! Conseillé par Audrey, j'y suis allée un peu à reculons tellement j'avais trouvé grossier l'aspect psycho des 2 premiers bouquins de Gounelle. Ici, j'ai trouvé l'histoire vraiment sympa et même si l'on sent très fortement les conseil psycho arriver, le fait que cela vienne d'un philosophe adoucit l'effet. Non, vraiment, drôle, agréable, et qui finit bien, un bon moment de lecture !
Trois lettres. Trois lettres qui sonnent comme les trois derniers chiffres d'un compte à rebours au final explosif : O-U-I. Un simple oui, projeté à la mairie entre Juliette et Benjamin, une simple union maritale comme épicentre d'un séisme psychologique. Cette simple nouvelle amorce chez les pères, mères, amis, amies, ex, ami(e)s des ex, belles-mères, beaux-pères, rivales et rivaux, une onde de choc déstabilisante. Le oui est d'abord remis en question, puis validé. Alors, on se voit, on s'en parle, on épluche les souvenirs, on dénombre les mensonges, on sombre dans le doute, les rivalités, on agonise, on esquisse des suicides, ressuscite des brouilles. Dans l'arbre généalogique et le réseau social des deux tourtereaux court alors une sève amère ou une électricité panique qui transforme la bague au doigt en bracelet de forçat, la haie d'honneur en effet domino. D'autant que Murielle Renault a le génie d'évacuer les noms, de ne garder que les prénoms, chacun devient alors, au fil des très courts chapitres, un électron libre de ses dérives, une boule de billard électrique ivre d'entrechocs. Tout s'achèvera par une hallucinante fête de mariage où rôde un photographe cynique dont chaque cliché est un coup de grâce tiré à bout portant, chaque flash une gifle en pleine face. Murielle Renault invente le marivaudage de l'ère atomique. Attention : ralentir mariage.
Murielle Renault est née au premier jour de l'automne 1972 sous le signe de la balance et, depuis, elle a beaucoup pesé le pour et le contre, très constante dans son indécision (normal, elle est aussi née le jour de la Saint-Constant). Du coup, elle est très intriguée par les gens qui arrivent à s'engager pour la vie, d'où son troisième roman, Oui...
Bien aimé celui ci aussi ! Qui m'a fait réfléchir mine de rien, sur ma propre situation, ce que représente le mariage pour moi, certaines réactions ... bref, intéressant et rapide à lire.
Je reviens te chercher, Guillaume Musso
Un matin, Ethan reçoit le faire-part de mariage de Céline, la femme qu'il aimait et qu'il a quittée pour se consacrer à sa fulgurante carrière. Désormais devenu l'un des plus brillants thérapeutes de Manhattan, Ethan est riche, célèbre, mais terriblement seul. II lui reste une journée pour rattraper son erreur et reconquérir Céline. Vingt-quatre heures folles et pleines de mystère au bout desquelles il sera tué par un inconnu. C'est alors que l'incroyable se produit : la journée recommence. Ethan se réveille, au même endroit, le même matin, comme si le destin lui permettait de revivre ce moment décisif. Réussira-t-il, cette fois, à saisir la chance de sa vie ?
Oui, je sais, je suis un peu monomaniaque ... mais celui ci, vraiment très bien. Par contre, il ne finit pas "bien". Et ça, ça m'a déçue ... Je ne vous raconterais pas, forcément, mais j'y ai cru jusqu'au bout (ou presque )